Quelques mots pour qu'il n'y ait aucune méprise...

Sur ce post , j'évoquais les questions existentielles et terrifiantes qu'avait apporté avec elle la mort de mon Grand Père.

Elles ne m'ont pas lâchées depuis. Je les avais étouffées (il faut bien vivre quand même ! ) et pouf ! elles ont ressurgi comme un geiser de caca. C'était pas joli-joli à voir.

Mais j'ai la chance inouïe de vivre aux côtés d'une personne attentionnée qui absorbe mes angoisses (un genre de SpongeBob des sentiments, quoi).

Sinon, pour désacraliser la mort, vous pouvez sur le site du photographe Patrik Buddenz. Il nous la révèle avec pudeur et vertuosité, de manière délicate et cruelle. Attention cependant, pour apprivoiser la mort, il faut la montrer toute crue... âmes sensibles s'abstenir.

Je suis une incorrigible nostalgique. C'était mieux avant, c'était bien, il faisait tout le temps beau, j'étais heureuse, toussa toussa...

Le 24 juillet, mon passé m'a explosé en pleine face. Mais c'était différent...

Parce que, cette fois, le présent ridiculise le passé... [présent : 150 - passé : 0]